Le donjon de Natacha

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il y a 6 ans

Le donjon de Natacha

Comme chaque samedi, je me travesti pour devenir Sandra. Après m’être maquillée, je mets ma plus belle lingerie pour séduire Natacha durant le week-end qui s’annonce. C’est une dominatrice expérimentée habitant au nord de Paris.

Sa réputation est telle que je l’ai contactée pour lui dire mes attentes.

Elle s’est montrée si persuasive au téléphone que malgré ses tarifs élevés, j’ai accepté son invitation avec enthousiasme. Toute à la pensée de cette rencontre, je me prépare longuement car je sais que la première impression doit être la bonne.

J’agrafe ma guêpière et enfile mes bas à couture en les tendant aux quatre paires de jarretelles.

Je caresse ce fin voile de nylon en sentant l’excitante tension des fibres synthétiques sur mes cuisses.

Puis, je garni mes bonnets 105/D de somptueuses prothèses en silicone avant de remonter sur mes hanches une ravissante culotte ouverte assortie à ma guêpière.

Pour achever ma transformation, je me coiffe d’une perruque blonde coupée au carré et me glisse dans une robe en dentelle moulante.

Je fais quelques pas devant le miroir en remarquant avec plaisir que mes hauts talons accentuent mon déhanchement lorsque je marche.

Par une belle journée ensoleillée, je quitte mon appartement parisien à bord de ma voiture décapotable.

Sur l’autoroute, je retrousse ma robe en exhibant mes cuisses gainées de nylon et ma culotte en soie à la vue des routiers.

Je les double lentement pour qu’ils gardent le plus longtemps possible une vue plongeante sur mes dessous.

Ils me rendent hommage par un concert de klaxons ininterrompu qui m’accompagne tout le long du trajet.

Mon GPS m’arrête devant une ancienne villa au cœur d’un parc arboré à la lisière de la forêt de Compiègne.

Le portail d’entrée s’ouvre devant moi et c’est le cœur battant que je pénètre dans cette propriété.

Natacha m’attend sur le porche et je sais en la voyant que je ne serai pas déçue.

Perchée sur ses cuissardes rouge et noir, elle me toise avec insistance.

Les bonnets de son corset en cuir maintiennent difficilement sa superbe poitrine et un string met en valeur ses cuisses fuselées.

Son visage slave à pommettes saillantes dégage une forte sensualité.

Sa chevelure brune en queue de cheval la fait paraître plus jeune que ses quarante ans.

Cette envoûtante dominatrice qui mesure plus d’un mètre quatre vingt est impressionnante.

Sous son allure très féminine, elle me dévoile son corps souple et musclé.

Connaissant déjà tous mes désirs, elle m’observe d’un regard torride.

Je tombe à genoux en remontant lentement mes mains le long de ses jambes pour caresser les cuissardes, puis ses cuisses gainées de nylon.

Sans perdre un instant, elle me relève et m’entraîne dans son donjon.

Nous descendons un large escalier menant à une pièce aux voûtes de craie blanche.

Le sol en tomettes de couleur sienne à une surface d’au moins 100m2.

Mon regard s’attarde avec surprise sur les aménagements de cette salle.

Au fond du donjon se trouve une croix de Saint-André, un lit avec des barreaux ornés de menottes, une table médicale, un cheval d’arçon, une cage métallique, un boudoir servant au maquillage et au travestissement….

Au mur est fixée avec précision une collection de fouets, d’accessoires en tout genre.

Quelques tables basses en forme de sexe de femme sont disposées ici et là.

Natacha s’avance vers moi d’une démarche féline.

  • Avec cet équipement, je vais pouvoir te faire découvrir quelques unes de mes spécialités.

Puis, sa main palpe mon corps allant de mon cou à mes cuisses, caressant mon ventre, mes seins et mes hanches.

  • Remonte ta robe, m’intime-t-elle d’une voix forte.

J’obéis fébrilement en la relevant contre ma taille.

Son regard est aussitôt attiré par le renflement évocateur de mon sexe.

Au contact de ses doigts, ma queue se gonfle instantanément et jaillit par l’ouverture de ma culotte en soie.

Mon émotion est forte et ma sensualité plus exacerbée que jamais.

  • Je n’aurai pas trop de deux jours pour dresser une petite bourgeoise de ton espèce.

  • Déshabille toi et passe cette tenue mieux adaptée pour nos jeux.

En quelques minutes, je me retrouve vêtue d’une guêpière en cuir rouge, de bas à résille, et de chaussures de drag queen.

  • Surtout, ne mets pas de culotte, me dit-t-elle d’une voix sibylline.

Me faisant m’asseoir devant sa coiffeuse, elle me maquille outrageusement les yeux et peint mes lèvres d’un rouge écarlate.

Une perruque blonde bouclée, mi-courte ainsi qu’une bonne couche de fond de teint achèvent ma transformation.

Je ne me reconnais plus dans la glace.

La bourgeoise s’est transformée en fille de la rue Saint-Denis.

Natacha m’allonge sur la table médicale.

Elle m’attache les mains et me fourre dans la bouche une de ses culottes en nylon.

Armée d’une cravache, elle commence à me fouetter doucement puis, de plus en plus vite.

Elle débute par mes cuisses avant de s’attarder sur mon entrejambe.

Devant la v i o l ence des coups, je resserre mes jambes par réflexe et pousse un gémissement vite étouffé par le bâillon.

  • Ecarte les cuisses, me dit-t-elle en élevant la voix et en m’attachant les pieds dans les étriers.

Pendant de longues minutes, elle s’acharne sur mon sexe avec une précision démoniaque.

Puis, elle change de registre en sévissant avec tendresse.

Les caresses succèdent aux caresses…

De sa bouche aux capacités infinies, elle me suce la queue d’une manière appliquée et généreuse.

Instinctivement, je me cambre en m’offrant davantage à cette dévoreuse de sexe.

Alternant douleur et plaisir, Natacha voit ma queue se dresser outrageusement devant ses yeux.

Je voudrais arrêter le temps pour apprécier ce moment où je me sens plus vivante que jamais.

  • Puisque tu es en forme ma belle, je vais en profiter, me dit-t-elle avec un rire de gorge évocateur.

Elle saisit sur une étagère une fine tige en acier chirurgical de 30 cm qu’elle lubrifie abondamment.

D’un geste assuré, elle l’engage dans mon méat en l’enfonçant lentement.

Sans me quitter des yeux, elle presse habilement ma hampe avec ses doigts pour la guider dans ma verge.

Par d’habiles va et vient, elle la fait disparaître entièrement dans mon sexe.

Puis, elle pose son pouce dessus pour l’empêcher de remonter.

Lorsqu’elle le retire quelques instants plus tard, la tige ressort spontanément de quinze centimètres.

Avec amusement, elle l’enfonce plusieurs fois de suite pour la voir rejaillir de mon sexe.

Peu après, Natacha m’introduit des plugs urétraux de plus en plus gros.

Elle termine avec le sceptre princier jumbo équipé d’une tige de 8 mm de diamètre et orné d’un anneau d’acier destiné à recouvrir mon gland.

Je regarde avec étonnement ce plug impressionnant s’enfoncer lentement dans mes chairs sans ressentir la moindre douleur.

Lorsque la longue tige d’acier est totalement enfoncée, l’anneau métallique vient recouvrir et m’enserrer le gland en m’interdisant tous rapport sexuel.

Puis, elle branche une pince électrique sur l’extrémité de la tige qui sort de mon sexe pour le faire vibrer.

En quelques minutes une vague de plaisir me submerge et je jouis en arrosant de mon sperme le métal vibrant.

  • Je poursuis ton initiation me dit-t-elle d’une voix enjouée.

Cette fois-ci, elle m’enfonce une sonde dans l’urètre avant d’uriner devant moi dans une poche plastique.

Une fois pleine, elle la raccorde à la sonde plongée dans ma vessie.

Je ressens très vite la bienfaisante chaleur de ce liquide doré qui coule dans le tuyau transparent en m’irradiant le ventre.

Pendant cet échange, Natacha engage un spéculum dans ma chatte pour me faire un examen intime.

Elle l’écarte fortement à plusieurs reprises pour tester la souplesse de mon anneau.

Son auscultation terminée, elle m’adresse un sourire complice en retirant la sonde urinaire.

  • Tu as tout pris ma chérie, me dit-t-elle en me montrant la poche vide.

Je frissonne quand je la vois s’approcher de moi un rasoir à la main.

  • Ne crains rien ma belle, je veux simplement enlever ces quelques poils disgracieux qui ont échappés à ta sagacité.

Je sursaute lorsque la lame glacée glisse le long de ma verge.

Natacha s’attarde ensuite à égaliser mon triangle de vénus et à me raser méticuleusement l’anus.

Sa tâche terminée, elle m’invite à la suivre dans son lit.

Voulant me voir soumise, elle m’attache les poignets aux barreaux.

  • Désormais, je t’interdis de jouir sans mon autorisation, me dit-t-elle en déroulant un préservatif sur ma queue.

  • Il me servira de témoin.

  • Tu seras sévèrement punie si je retrouve du sperme à l’intérieur.

Poursuivant ses jeux, elle me pose un étrange cockring métallique autour de la verge.

Il est relié à une tige d’acier qui se termine par une boule en métal venant s’appliquer contre ma rosette.

Comme son diamètre de six centimètres est supérieur à une boule d’attelage, Natacha doit f o r c e r mon passage pour la faire rentrer dans ma grotte.

A peine a-t-elle réussie, qu’elle la retire brutalement de mes fesses.

  • Tu m’arraches les chairs, lui dis-je en gémissant de douleur.

Sans prendre la peine de me répondre, Natacha la replonge tout aussi v i o l emment dans mes entrailles.

  • Je vais maintenant te mettre à l’épreuve, me susurre-t-elle à l’oreille.

Retirant son string, elle se met à califourchon sur mon ventre.

  • Voyons si tu vas pouvoir me résister bien longtemps.

Initiant de lents va et vient, elle frotte sa chatte sur toute la longueur de ma queue pendant que sa main me caresse le périnée et les bourses.

A d’autres moments, elle me masturbe sur des rythmes différents en poussant fortement la barre du cockring.

Je sens alors la boule presser avec insistance mon point G.

Elle me met dans tous mes états et je me retiens de jouir pendant plus d’une heure avant qu’elle ne s’arrête.

  • J’espère que tu m’as pas désobéis, me dit-t-elle en enlevant mon préservatif et en le retournant au dessus de sa main.

A ma grande surprise, je vois quelques gouttes de sperme couler dans sa paume.

  • Je te promets de m’occuper de toi cette nuit, me dit-t-elle d’une voix menaçante.

Puis, elle libère mes seins de ma guêpière en retirant provisoirement mes prothèses en silicone.

Avec un coton imprégné d’un produit réfrigérant, elle me glace les tétons pour les insensibiliser.

Sans que j’aie le temps de réagir, elle les perce avec une aiguille.

Je ressens une douleur aiguë qui s’estompe rapidement pendant qu’elle me pose des anneaux en acier.

  • Ces bijoux portent mon prénom et ne pourront plus s’enlever.

  • Désormais, tu m’appartiens, me chuchote-t-elle à l’oreille en me passant autour de la gorge un bandeau de soie.

Allongée sur moi, elle décide de me faire l’amour.

  • Je vais te faire jouir une dernière fois, me dit-t-elle en s’empalant sur ma queue.

Sa chatte brûlante de désir et avide de sexe devient une véritable pompe à sperme.

Elle roule et ondule du bassin en me donnant un plaisir intense.

Dés que je suis sur le point de défaillir, elle me comprime le cou avec son foulard pour me calmer.

  • Pas maintenant, m’ordonne-t-elle en m’étranglant à deux mains et en m’immobilisant par le poids de son corps.

Puis, desserrant le foulard, elle se frotte à nouveau contre moi pour m’exciter.

Elle poursuit son scénario jusqu’à mon point de non retour.

Quelques minutes plus tard, mon corps se met à trembler avant d’être secoué de spasmes.

De puissants jets de sperme fusent dans la chatte de ma Maîtresse pendant qu’elle me serre fortement la gorge.

Mon orgasme est décuplé jusqu’à ce qu’un voile noir me tombe sur les yeux en me faisant perdre à moitié connaissance.

Peu après, Natacha éponge avec surprise le trop plein de sève qui coule sur ses cuisses.

  • Tu m’as mis la dose me dit-t-elle admirative.

Elle me laisse récupérée un instant avant de revenir avec un énorme plug à la main.

  • Il est formé de trois anneaux me dit-t-elle.

  • Le premier à un diamètre de sept centimètres qui correspond à la taille d’une bouteille de vin.

  • Le second à un diamètre de huit qui est celui d’une bouteille de champagne.

  • Enfin, le dernier ouvrira ton oeillet à un calibre neuf si il est suffisamment souple.

  • Sache que peu de mes soumis y sont arrivés.

Pendant qu’elle lubrifie l’impressionnant mandrin, Natacha me fait mettre à genoux devant son cheval d’arçon en me couchant sur le ventre.

Puis, elle presse le plug contre ma rosette en le poussant fortement à deux mains.

Le premier anneau pénètre sans trop de difficultés.

S’agrippant à mes hanches, elle se rue en moi de toutes ses f o r c e s pour m’enfoncer le second.

Je ressens une douleur aigue lorsqu’il pénètre en m’écartant brutalement les chairs.

Elle le fait coulisser longuement en moi pour me roder l’oeillet.

Puis, après plusieurs tentatives infructueuses, elle réussit à plonger le dernier anneau dans ma chatte.

Elle contemple son œuvre et regarde d’un air satisfait le socle du plug collé contre mes fesses.

  • Eh bien ma chérie, je suis agréablement surprise d’y être arrivée, me dit-t-elle en me libérant les reins.

  • Mais, je n’en n’ai pas terminée avec toi, me dit-t-elle en admirant mon anneau grand ouvert.

Je me demande ce que va encore inventer ma vicieuse Maîtresse.

Elle enfile un gant en latex avant de plonger sa main dans mon ventre pour masser mon point G avec la pulpe de ses doigts.

Je gémis de plaisir devant le savoir faire de Natacha.

Dans le miroir mural qui me fait face, je la vois tourner habilement son poignée et rentrer lentement son bras jusqu’au coude.

  • Tu ne bouges surtout pas, me susurre-t-elle à l’oreille.

Elle engage son autre main en godillant un long moment dans ma croupe pour la faire disparaître à son tour.

Elle me fouille les chairs et explore les moindres recoins de ma grotte avant de me dire :

  • Je vais te faire essayer mon dernier achat.

Incrédule, je la vois retirer son bras de mes reins et revenir un instant plus tard harnachée d’un gode ceinture XXL.

Je frissonne quand j’apprends qu’il atteint dix centimètres de diamètre à sa base.

Natacha n’a pas trop de ses deux mains pour le maintenir à l’horizontal.

  • Tu vas être la première à te faire empaler par ce monstre.

  • Je vais te rentrer ses trois kilos dans les fesses, rajoute-t-elle avec perversité.

Après plusieurs tentatives, elle arrive à ses fins.

J’ai l’impression d’être ouverte en deux par ce pal monstrueux qui sort de mon ventre.

Pendant de longues minutes Natacha s’active dans mes reins tout en me masturbant.

Je finis par jouir dans sa main pendant qu’elle me presse la queue et le périnée pour recueillir mes dernières gouttes de sève.

Pendant le dîner, elle me transforme en soubrette à moitié nue.

Après lui avoir servi les plats, je reste agenouillée entre ses cuisses la bouche collée contre sa chatte.

Puis, elle se lève de table et m’oblige à la suivre en me disant avec un certain sadisme :

  • Souviens toi ma chérie que je t’ai promis une nuit inoubliable.

Elle me bâillonne et m’attache les mains et les chevilles à la croix de Saint-André.

Puis, elle m’insère dans la verge un plug urétral dont le diamètre progressif se termine par une boule.

  • La tige en métal est creuse.

  • Cela te permettra d’uriner ou de jouir mais uniquement quand je te le dirais, me dit-t-elle d’une voix autoritaire.

Enfin, elle me plonge dans les fesses un plug de bonne taille qui me fait ressentir une douloureuse tension dans le ventre.

Ma situation n’est vraiment pas confortable et cela semble l’exciter.

Allongée sur le lit, Natacha guette l’instant où je vais m’endormir.

Dés mes premiers signes de sommeil, elle vient me fouetter le sexe en m’accrochant des poids de plus en plus lourds aux testicules.

A d’autres moments, sans me laisser de répit, elle tire sur mes anneaux de seins.

Au cours de la nuit, elle me dit :

  • Je veux te voir jouir par la tige du plug.

Elle me pose alors un vibro sur le gland en le faisant aller et venir le long de mon frein.

Natacha n’attend pas longtemps pour voir ma sève sous pression fuser par l’étroite embouchure du plug urétral.

Elle sourit en voyant mon sperme s’écraser en jets puissants contre ses cuissardes.

Pendant que je me vide, mon corps est pris de tremblements et je me cambre sous l’intensité de l’orgasme.

A l’aube, ivre de fatigue et toujours attachée à la croix de Saint-André, je continue à subir les caprices de ma Maîtresse.

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